lundi 29 juillet 2013

la gazelle

La gazelle  du Sahara, une espèce protégée dont l’effectif demeure en régression, est menacée de disparition dans le sud et sud-ouest de Ghardaïa, selon une étude du service de l’extension du patrimoine et de la protection de la flore et de la faune de la Conservation des forêts de la wilaya. Cette étude d’observation, réalisée en mai dernier dans le cadre de la 3e enquête nationale sur les antilopes en Algérie, a révélé que la  gazelle observée dans le sud de la wilaya de Ghardaïa, notamment dans la partie de l’Erg occidental, sur une superficie de 100.000 hectares, reste en régression bien que des troupeaux de gazelles d’une quarantaine de sujets ( 25 adultes dont 10 males et 15 faons) aient été relevés avec une fréquence d’observation quasi nulle de   un  à trois sujets.L’étude fait remarquer toutefois que les gazelles qui circulaient aisément auparavant à travers la hamada, ce qui rendait facile leur observation, se sont retranchées maintenant dans des endroits difficiles d’accès, d’où la difficulté de les répertorier. L’enquête révèle cependant une légère hausse comparativement à l’observation effectuée en 2007, en avançant comme hypothèses pour expliquer cette légère évolution celle notamment de la période choisie pour cette observation qui intervient juste après la période de naissances des faons et les bonnes conditions climatiques. Les antilopes ou gazelles, “rym” du nom local, vivent en petits groupes dans les Oueds, dunes et zones rocheuses du Sahara, signale-t-on. Les accouplements ont lieu sur une période de trois mois. La gestation dure entre 160 et 180 jours et il n’y a qu’un seul petit par portée, ce qui rend cette espèce menacée, selon des spécialistes.Par ailleurs, les observateurs ont également remarqué un développement d’un tapis végétal composé de graminées et autres plantes nécessaires à la subsistance de ces espèces dans l’Erg occidentale. Ils ont fait aussi part dans leur enquête de l’existence de nombreuses espèces protégées et de gibier dans le désert notamment le fennec, le varan du désert, la fouette queue et le scorpion ainsi que le lièvre.

“La nouvelle loi sur la chasse, adoptée en août 2006 et qui a fait l’objet de nombreux séminaires de vulgarisation, donne l’espoir d’une extension du patrimoine faunistique”, a indiqué le responsable de la protection de la faune à la Conservation des forêts de Ghardaïa. Aucun cas de braconnage n’a été signalé cette année dans la région, s’est félicité le même responsable ce qui permet l’extension de la faune dans la région, a-t-il précisé. Le projet de la station régionale de reproduction en semi captivité des antilopes “Rym” qui sera prochainement réalisé dans le sud de la wilaya de Ghardaïa, devra permettra à l’avenir de préserver et de développer des espèces animales non domestiques menacées de disparition, estime-t-on Il permettra également de repeupler la région du sud algérien de ces bovidés sahariens en restaurant leurs écosystèmes naturels, a-t-il conclu.

dimanche 21 juillet 2013

les oiseaux , espace en voie de disparition ?

10 % des oiseaux nicheurs ont disparu en 20 ans. La région Midi-Pyrénées est fortement touchée.

Une hirondelle ne fait pas le printemps et le fera de moins en moins. Menacée d'extinction, espèce protégée, elle disparaît peu à peu de notre paysage et elle n'est pas la seule.
Les oiseaux se font rares. En Midi-Pyrénées, nous sommes fortement concernés. Pour Jean Ramière, ornithologue et chargé de mission pour Nature Midi-Pyrénées, la situation est inquiétante. « Les oiseaux sont des indicateurs assez fiables de l'état des milieux naturels. Leur disparition indique que certains espaces ne fonctionnent plus correctement et devraient, à terme, être détruits. Ils nous alertent aussi sur les risques de pollution futurs, de l'eau, des sols… ». Au-delà de ce rôle d'indicateur, les oiseaux ont une « valeur de patrimoine que l'on doit protéger ». La région Midi-Pyrénées, la plus grande de France, est composée de milieux très différents ce qui permet une prolifération des oiseaux. Mais ceux-ci sont dangereusement menacés par l'agriculture intensive, les pesticides, la disparitions des haies… Dans les Pyrénées, il ne reste que quelques couples de rapaces rupestres tels les gypaètes barbus ou les vautours percnoptères. Leur vie est mise en danger par l'essor des sports de nature, malgré les conventions passées avec certains villages. Dans les champs, ne cherchez plus les alouettes ou les œdicnèmes criards, ils ont définitivement disparu. En ville, si le nombre d'oiseaux reste à peu près stable, le nombre d'espèce a, lui nettement diminué. Pollution et destruction des nids par les particuliers ont eu raison des volatiles les plus fragiles. L'association « Nature Midi-Pyrénées » prend très à cœur le problème des oiseaux. Chaque espèce menacée est suivie, les sites sont protégés, certaines haies sont replantées. Mais les spécialistes appellent à une réflexion générale sur les modes d'agricultures et les continuités écologiques afin de donner la primeur à la nature et ainsi sauver les volatiles en danger.
Pour les scientifiques du Muséum national d'histoire naturelle, le constat est sans appel. Depuis 1989, la France a perdu 10 % de ses oiseaux nicheurs. Les espèces les plus touchées sont celles qui vivent en milieu rural et celles qui squattent les bâtiments, granges, clochers (20 % de baisse). Il est grand temps de prendre soin de nos hôtes du ciel.

mercredi 17 juillet 2013

Les tigres blancs ne sont pas une espèce en voie de disparition

Le tigre blanc n'est pas une espèce en voie de disparition. Les tigres blancs sont une aberration qui se rencontre rarement de la nature. Leur couleur n'est pas naturel et dans un environnement sauvage, il serait sérieusement les gêner en tant que chasseur. La nature a doté le tigre normal avec un pelage qui lui permet de se camoufler pour se fondre avec aisance dans son environnement naturel. Les tigres blancs ne se produisent à l'état sauvage, mais ils sont extrêmement rares. Ils sont rares parce que leurs proies peuvent voir venir. Ils se distinguent, un peu comme un ours noir polaire. Un tigre blanc sauvage est beaucoup plus susceptibles de mourir de faim ou d'être abattu par un braconnier. Ils sont naturellement désavantagés.

Le tigre blanc n'est pas un albinos. C'est un animal leucistic et il a généralement les yeux bleus plutôt que rose. Comme les animaux vont, il est une bête très attrayant. Tous les tigres blancs sont tigres du Bengale (Panthera tigris tigris) espèce, mais cela ne rend pas le tigre blanc d'une espèce à part entière. Il reste un caprice de la nature. Foire des articles de journaux se référer à eux comme des tigres blancs de Sibérie ». Ils ne sont pas. Tous les tigres blancs sont essentiellement tigres du Bengale.
La population captive des tigres blancs d'aujourd'hui a été délibérément produite par l'homme. Elevage a été contrôlée. Frère et sœur, le fils avec la mère, le père de la fille. Pas pensé à le bien-être des animaux dans son ensemble, mais simplement de produire plus de blancs animaux colorés. Cette consanguinité a produit de nombreux petits déformées et faiblement. Les tigres blancs mais sont très populaires. Les gens aiment les voir, mais ne sont pas conscients des activités inhumaines.

Parce qu'ils sont populaires certains zoos sont prêts à acheter et se reproduire d'eux pour gagner de l'argent. D'un point de vue pédagogique, ils sont très utiles, mais sur un niveau de conservation, ils n'ont aucune valeur du tout. Zoos bonnes, les zoos qui sont sérieux au sujet de leur travail ne se livrerait jamais l'élevage tigres blancs d'aujourd'hui.
Un des principaux objectifs de maintien de tigres, et tous les animaux, en captivité aujourd'hui est de gérer et de se reproduire avec l'objectif d'un retour des populations génétiquement viables à l'état sauvage à un certain moment dans le futur. Il s'agit d'un projet à long terme à la recherche de plus de cent ans à venir. Les populations captives de nombreux animaux, y compris les six sous-espèces de tigre sont gérés par stud-book et les coordonnateurs des espèces. La coopération nationale et internationale entre les zoos est là pour déplacer les animaux sur la façon à ce que les animaux se reproduisent sans rapport et qu'il ya une «propagation de gènes« un bon.
Le tigre blanc ne figure pas n'importe où dans ce plan. Les tigres blancs sont dangereusement croisées ainsi que entre sous-espèces mixtes. Ils sont de zéro la valeur de conservation. Les tigres blancs sont inutiles pour les programmes de sélection étant donné que ces «inutiles» aux animaux de prendre des précieux espace captif qui pourrait être utilisé pour la conservation est préoccupante authentique. Malheureusement, ce malheureux animal et son plus proche parent est prenant beaucoup d'espace. Il ya un zoo unique en Chine, qui détient 200 et dans le monde entier de la population doit être d'environ deux mille

mardi 16 juillet 2013

ours brun

La principale cause de disparition de l'ours des Alpes françaises fut la chasse:

Avec les guerres de l'Empire et la Révolution Industrielle, les armes à feu se généralisèrent et la chasse augmenta. Pire, en 1844, le législateur déclara l'ours comme un animal "nuisible". Dès lors, les préfets peuvent ordonner des battues : "les ours pourront être détruits partout, en tous temps et par tous moyens et en tous lieux...". Des battues furent donc entreprises chaque année entre 1860 et 1904, en Vercors et dans les Bauges notamment, mais très certainement ailleurs aussi. De toute façon, dès 1860, l'espèce est condamnée et les battues restent le plus souvent sans succès.
Mais l'environnement de l'ours fut aussi touché. Plusieurs facteurs ont entraîné l'isolation de petites populations (sans contact entre elles) qui furent éliminées peu à peu :
  • les coupes de bois dues à l'industrie papetière devinrent de plus en plus importantes, notamment dans la Belledonne en 1869.
  • l'ouverture de nombreuses routes à la dynamite, pour l'artillerie ou le désenclavement du Vercors (1825) par exemple.
  • l'exploitation des terres en moyenne montagne, laissant peu de place à la forêt.
  • l'accroissement de la densité humaine, notamment dans les vallées profondes entre les massifs.
Ainsi, à la fin du XIX° siècle, le massif alpin français réunissait tous les éléments pour que la disparition de l'ours survienne, même si elle ne fut effective qu'en 1940 (au moins).
Les ours des Alpes de cette époque sont vagabonds, marcheurs et solitaires. L'absence de grands massifs forestiers les obligent à parcourir de grandes distances à la recherche de nourritures, de partenaires et de cachettes. A l'image de l'ours des Pyrénées, il est plutôt petit (125 - 150 kg en moyenne).
Commençons par des remarques générales sur l’ours : il ne faut pas confondre l’ours des Pyrénées (ours brun) avec le grizzly vivant principalement au Canada et en Alaska... Le nôtre fait entre 100 et 200 kilos, le grizzly adulte pèse entre 500 et 700 kilos... Leur tempérament n’est en rien comparable : le grizzly est régulièrement le sujet de faits divers au Canada... Tout ça pour rappeller que, pour tenter d’expliquer la supposée dangerosité de l’ours, il vaut mieux se concentrer sur nos ours                                                                                            
Le régime alimentaire de l’ours brun estconstitué à environ 60% de plantes (myrtilles, faines, glands, etc.), 30% d’insectes, petit rongeurs... et 10% de viande (aussi bien des charognes que des proies vivantes). Le régime alimentaire des oursréintroduits dans les Pyrénées (ours brun de Slovénie) est quasiment le même que celui des oursde souche pyrénéenne : le Slovène a besoin d’une fraction carnée légèrement supérieure à celle de son proche cousin pyrénéen. (14% contre 10%). Bref, on ne peut pas dire qu’il ait un régime alimentaire à dévorer les petites filles qui se promènent dans les sous-bois...Je vois déjà certains Ariégeois en train de vociférer : "Ce sont des beaux discours des gens des villes, mais s’il me met un coup de patte, je suis mort !"... Il est vrai que si l’on ne s’en tient qu’à l’aspect physique, l’être humain présente des capacités nettement inférieures. Remarquez que la comparaison avec une vache est aussi largement défavorable. Il est toutefois légitime que dans certaines situations très particulières (dérangement d’une femelle suitée, présence intempestive de chiens), on pourrait imaginer que l’ours ait le même comportement que n’importe quel autre animal et se montre agressif envers l’homme. Alors, examinons les chiffres !

Il n’existe pas un seul récit documenté d’une personne tuée par un ours dans les Pyrénées depuis plus de 150 ans... argument massue. Et pourtant les populations d’ours et de montagnards étaient toutes deux bien plus importantes que maintenant, lors du siècle passé.Plus précisément, l’ours est étudié depuis dix ans. Alors, combien de fois pensez-vous que l’ours ait été vu, sachant qu’il y a une petite vingtaine d’ours et beaucoup d’éleveurs, de promeneurs, etc. ? D’ailleurs,est-ce que vous, éleveur émérite qui sillonnez la chaîne des Pyrénées en toute saison, avez déjà vu l’ours ?... Eh bien l’ours a été vu seulement 60 fois... Inutile de dire que pour le voir, il faut se lever tôt, et ce n’est pas le touriste citadin en randonnée familiale qui risque de le croiser lors de ses promenades !Et dans ces 60 fois, qu’a-t-il fait ? 
Dans 78% des cas, il est parti en vitesse.
Dans 19% des cas, il a continué comme si de rien n’était.
Et dans deux cas, il a chargé. Je vois déjà certains bondir et protester : "Vous voyez bien que c’est un danger !"... Eh bien non !
 Le premier cas concerne les deux agents qui pistaient Ziva et ses deux oursonsd’un peu trop près... Mais ce ne fut qu’une charge d’intimidation... Pas de contact. Le deuxième cas concerne la mort de Mellba, encore aujourd’hui assez obscure.
(A noter, pour ceux qui suivent encore, que cette étude est antérieure à la mort de Cannelle et donc ne recense pas ce cas-là). La faiblesse du nombre de ces rencontres homme-ours s’explique par le fait que l’ours est un animal essentiellement nocturne..
Je pourrais vous trouver les chiffres des personnes qui ont été tuées par des vaches, des frelons, des vipères, des sangliers, des cerfs, mais je ne crois pas que cela soit nécessaire... Je ne partirai pas non plus sur les 135 morts (au cours des cinq dernières années) parmi les chasseurs (il est vrai, nettement plus nombreux que les ours) qui, eux, ne font peur à personne en Ariège. L’ours n’est pas un animal plus dangereux qu’un autre. C’est un fait.
En conclusion, je dirai donc que si vous avez encore peur de l’ours des Pyrénées, après avoir lu ces quelques lignes, votre problème, ce n’est pas l’ours.


samedi 13 juillet 2013

les dinoasaures

Qu'est-ce qu'un dinosaure ?

Les dinosaures étaient des reptiles très différents les uns des autres. Certains étaient aussi petits qu'un poulet et d'autres aussi grands que plusieurs avions.
Ils ont dominé le monde de 60 à 228 millions d'années. Comme les reptiles actuels, les dinosaures ont aussi une peau écailleuse.
Les premiers dinosaures étaient des carnivores, les herbivores apparurent ensuite.

Les dinosaures carnivores

Les carnivores se nourrissent d'insectes, d’œufs de reptiles et de mammifères. Ils étaient de rapides chasseurs. Le meilleur était le Tyrannosaures Rex. Le Compsognathus Coelanosaure attrapait et dévorait ses proies avec ses pattes antérieures.
Avec leurs dents, comme des poignards, ces reptiles étaient de féroces prédateurs.

Les dinosaures au long cou

Les plus gros, les plus lourds et les plus longs animaux ayant jamais existé sont les dinosaures sauropodes au long cou.
Ces créatures avaient de longues queues, des corps compacts, de petites têtes, des pattes avant plus courtes que les arrières. Des doigts griffus et des pouces plus larges que les autres doigts, ce qui leur permettait d'attraper les branches.
En 1986 les paléontologues ont découvert les os d'un gigantesque sauropode qui devait dépasser les 30 mètres de long.

Des dinosaures étonnants

Comparés aux 150 millions d'années pendant lesquelles les dinosaures vécurent, les 5 millions d'années d'existence de l'être humain sont très récentes.
Les dinosaures ont été les plus étranges et les plus extraordinaires animaux de ce monde. Il a parfois été difficile d'imaginer que la Terre ait hébergé de si immenses créatures : les fossiles du premier dinosaure, un mégalo rus de neuf mètres de long, ont d'abord été pris pour les restes d'un être humain géant.

Le plus lourd était le Brachiosaures, pesant 80 tonnes pour 23 mètres de long, avec des épaules de près de 6 mètres de haut, était aussi haut qu'un immeuble de quatre étages !
Le plus petit, avec son mètre de long et ses 3,5 kg, Compsognathus était sans doute l'un des plus petits dinosaures.
Le plus rapide, Struthiominus, haut de 2 mètres et long de 3 à 4 mètres, se défendait des prédateurs en fuyant. Il courait à plus de 50 km/h !
Le cou le plus long : Mamenchisaurus, avec ses 22 mètres ; était presque aussi long que son cousin Diplodocus, le plus long, avec ses 23 mètres dont une queue de 14 mètres. Le plus terrible prédateur fut le plus gros de toute l'histoire : Tyrannosaures, pesant 7 tonnes, ils pouvaient atteindre 14 mètres de long.

Les dinosaures à bec de canard

Les adrosaures étaient des dinosaures à bec de canard, qui se déplaçaient sur leurs pattes avant pour brouter.
Les espèces d'adrosaures furent les dinosaures les plus répandus du crétacé. Probablement apparus en Asie centrale, ils étaient aussi en Europe et en Amérique du nord. Quand le climat devint plus sec, ils purent survivrent car ils avaient une alimentation variée.


jeudi 11 juillet 2013

le hamsters : tout savoir sur ses conditions de vie et son alimentation

L'habitat du hamster est, à la base, une cage dans laquelle on prendra soin d'installer tout le matériel nécessaire à son bien-être. Les aliments du commerce sont constitués de mélanges équilibrés et conviennent parfaitement à la nourriture du hamster. Hygiène de la cage est très importante et doit être maintenue pour éviter des désagréments aussi bien pour le hamster que pour son propriétaire.

L'habitat du hamster

Le hamster vit dans une cage métallique comportant un fond en plastique. Il est indispensable de choisir du matériel spécifique à cette espèce. En effet, une cage plus grande comportera des barreaux trop écartés ce qui peut gêner le hamster lorsqu'il grimpe sur les parois.
Un abri en bois ou en plastique sera installé pour que le hamster puisse y dormir et y stocker de la nourriture. Il faut également équiper la cage d'une mangeoire et d'un biberon d'eau pour l'abreuvement.
Une roue permettra au hamster de se défouler et d'éviter l'ennui.

La température ambiante ne doit pas descendre en dessous de 10°C, car, au delà, le hamster entre en hibernation. Il est alors amorphe et ne mange plus.
L'éclairage doit être modéré pour ne pas gêner le hamster qui, en tant qu'animal nocturne, dort le jour et vit la nuit.
Les sujets dociles peuvent être sortis de leurs cages. Il faut les tenir au creux de la main et ne pas les lâcher dans l'habitation au risque de ne pas les retrouver. La boule pour hamster permet à l'animal de se promener où il veut tout en étant en sécurité, même si un chat est présent.

L'alimentation du hamster

Le hamster doré peut être nourri avec un mélange complet industriel sous forme de graines ou avec des granulés. La proportion de graines pour oiseaux doit être plus importante pour les hamsters nains (hamster de Roborovski, hamster russe).
La nourriture ne doit pas être distribuée à volonté, car le hamster est sujet à l'obésité.

Cette espèce accepte également des flocons d'avoine, des légumes, des fruits frais et un peu d'œuf dur. Le hamster doit toujours disposer d'eau fraîche renouvelée tous les jours.

Maintien de l'hygiène

La mangeoire et le biberon doivent être nettoyés quotidiennement.

La litière se compose de copeaux de bois, de sciure ou éventuellement de litière pour chat. Il est nécessaire de la changer une à deux fois par semaine, pour maintenir un niveau d'hygiène suffisant.
De plus, l'urine de hamster dégage très rapidement une odeur nauséabonde. Lors de ce renouvellement, la cage doit être nettoyée et désinfectée

mercredi 10 juillet 2013

un écureuil roux dans notre cyprès

Chaque matin entre 7 h et 8 h 30 l'écureuil roux nous invite à son petit déjeuner de cônes de cyprès.
Un petit bruit de grignotage, des débris qu'il jette, une tache rousse suffisent pour le localiser  dans les 10 m de hauteur du cyprès  et l'observation peut commencer. Où se placer ? A un mètre de notre terrasse (c’est trop près, on pourrait l’effrayer), ou à 7-8 m à la fenêtre chez Andreas (c’est mieux – avec un zoom de 300 mm et beaucoup de patience).
Quelle idée l'a décidé à installer ses quartiers dans ce conifère si proche de la maison, de ses activités humaines et des animaux - chien, chat - qui peuvent le déranger ou même l'attaquer ? En l'observant on comprend vite : le cyprès, lourdement chargé de ses fruits - des cônes sphériques qui renferment les précieuses graines -  est avant tout son garde-manger.


Il se saisit d'un cône  entre ses deux pattes avant et il commence la dégustation écaille après écaille à la recherche des graines. Quand il ne reste que le trognon, il le jette et part vite à la recherche d'un autre cône, parfois juste à côté, parfois plus haut ou plus bas en se faufilant entre les branches.
Son agilité est étonnante. Une longue queue « en panache » lui sert de balancier et de gouvernail lorsqu'il grimpe . Son adaptation au milieu est parfaite : squelette léger, longues griffes, il étale la queue et écarte les membres quand il saute. Le cyprès est à 60 cm du bord du toit , un rien à franchir pour notre acrobate.


A-t-il construit sa « hotte ,» (son nid)  dans le cyprès ou bien sous le toit ? Mystère ! Pour étancher sa soif, nous avons placé une petite réserve d'eau à côté du cyprès, mais bien rusé celui qui le verra en train de boire.
L'écureuil est aussi un bon nageur. Nous l’avons vérifié sur les îles du Rhône près de Condrieu (l’île au Beurre). Un peu loin, le sujet, pour le zoom de notre petit appareil photo compact .



Les écureuils roux sont en voie de disparition, victimes de la route et remplacés par les écureuils gris venus d’Amérique du Nord devenu invasifs parce plus gros et plus forts et plus résistants aux maladies. Ils ont pratiquement disparu en Angleterre.
Alors, nous sommes particulièrement attentifs à ce nouveau voisin si sympathique. Mais il a déjà terminé son repas et nous dit au revoir en disparaissant dans l'épaisseur du feuillage.

mardi 9 juillet 2013

l'hippocampe est en voie de disparition

Vous avez déjà rêvé d'un hippocampe, et ce petit poisson vous offrait l’image insolite d’un mini dragon qui se serait équipé pour moitié au magasin des armures et pour l’autre moitié à celui des scaphandres de cosmonautes ? Pas de doute, vous vivez en ce moment une angoisse existentielle. Mais à part servir de symbole pour interpréter les rêves, qu'est-ce réellement qu'un hippocampe ? 

Dans l'imaginaire, l'hippocampe diffuse une sensation de mystère qui se dégage des créatures que l’on suppose venues d’un autre monde, comme les étoiles de mer. En réalité, ce ne sont que des poissons à nageoires rayonnées, qui vivent majoritairement dans les eaux tempérées et tropicales, et qu'il est facile de voir lors de plongées si l'on est patient. Leur particularité ? c’est le mâle qui porte les cent à deux cents œufs, dans une poche ventrale appelée le marsupium, ce qui est très rare. L'incubation dure de deux à trois semaines et elle se renouvelle sans cesse : quand l'une termine, une autre recommence presque immédiatement avec les oeufs provenant de la même femelle. Comme beaucoup d’espèces, les hippocampes souffrent de la destruction de leur habitat et de la surpêche. Le problème ne vient pas d'un mode de consommation qui intègrerait l'animal dans la nourriture local, mais est le résultat de filets de pêche illégaux, dont les mailles trop petites ramènent bien plus que simplement du poisson à la surface. C'est pourquoi de plus en plus d'associations de défense des animaux ont créé des élevages d'hippocampe, afin de repeupler le milieu naturel grâce à une reproduction de culture. En attendant, le relais publicitaire se fait de plusieurs manières : un très bon restaurant situé sur l'Estaque, à Marseille, se nomme l'hippocampe, ainsi qu'un camping à Argelès-sur-mer. Il n'est pas rare aussi de voir des personnes dont le tatouage représente un hippocampe.

Loin de signifier la faiblesse et l'abandon, l'hippocampe est un symbole de bravoure, malgré sa petite taille ! il est important de sauvegarder cette espèce vouée à s'éteindre très vite. Par une action directe comme la participation à un élevage, ou de manière passive en affichant l'image de l'animal (tatouage, pendentif ...), vous contribuerez à faire revivre le mythe du cheval ailé. 

vendredi 5 juillet 2013

koala

Le koala (Phascolarctos cinereus) est un marsupial arboricole herbivore endémique d'Australie et le seul représentant encore vivant de la famille desPhascolarctidés. Le koala se trouve dans les régions côtières de l'Australie méridionale et orientale, d'Adélaïde à la partie sud de la péninsule du cap York. Les populations s'étendent aussi sur des distances considérables dans l'arrière-pays australien (outback) là où l'humidité est suffisante pour le maintien de forêts. Les koalas d'Australie-Méridionale furent largement exterminés au début du xxe siècle, mais cet État fédéré a depuis été repeuplé grâce à des transferts duVictoria. Le koala n'est présent ni en Tasmanie ni en Australie-Occidentale. Le koala est étroitement lié à l'eucalyptus ou gommier, dont il ne mange les feuilles que de certaines espèces. Il peut vivre en moyenne 10 ans pour les mâles et 15 ans pour les femelles.
Il est devenu, avec le kangourou, l'un des principaux symboles de l'Australie. Après avoir été chassé massivement pour sa fourrure, il est aujourd'hui principalement menacé par la fragilité et le recul de son biotope.





le grand requin blanc



DESCRIPTION:
Le grand requin blanc est un véritable monstre marin. C’est l’animal qui commet le plus d’agressions sur l’Homme et les embarcations légères. Cette phénoménale agressivité lui a valu d’être surnommé à juste titre mort blanche ou mangeur d’hommes. Il est donc une véritable inspiration de terreur, d’autant plus qu’il est présent dans quasi toutes les mers, bien qu’il soit beaucoup plus nombreux dans les mers à climats tempérées que dans les mers froides. Ses dents sont spécialement adaptées pour saisir les proies et leur arracher d’importants morceaux de chaire. En effet, elles sont de forme triangulaire et mesure environ 7,5 cm. Lorsque le grand requin blanc perd une de ses précieuses dents, celle-ci repousse automatiquement de sorte que sa mâchoire ne soit jamais défaillante. Mais comme tout animal il possède cependant un défaut, puisqu’il est contraint de nager toute sa vie sans s’arrêter à une vitesse minimum de 3,5km/h, afin que son organisme ne manque pas d’oxygène. 


 MODE DE VIE:
Le comportement du grand requin blanc est très variable selon l’âge, la taille et le poids des individus. Ainsi, les scientifiques ont remarqué que les jeunes requins blancs vivaient généralement dans les eaux de surface tandis qu’arrivé à un certain âge, ils se réfugiaient dans les eaux sombres des profondeurs pour ne jamais en ressortir. On pense également que le grand requin blanc change de sexe, étant mâle dans sa jeunesse avant de devenir femelle à partir d’une certaine taille. En effet les plus gros sujets capturés étaient pour la plus grande part des femelles. D’autre part, plus la taille de l’animal est importante et plus il a de chance de donner naissance a une bonne progéniture, c’est pourquoi des chercheurs pensent que ce changement de sexe est du à la nature afin d’assurer le bon déroulement des naissances de requins blancs.



ALIMENTATION:
 Le grand requin blanc est beaucoup plus qu’un prédateur, puisque tout animal marin est une proie potentielle pour lui. Rien ne lui fait peur et surtout rien ne lui survit, sachant que ses proies préférées sont les plus grosses. Cependant il consomme pour la majeure partie du temps des thons, des marlins et des espadons, ou bien encore des otaries, des phoques et des dauphins pour les mammifères. Le grand requin blanc est de nature plutôt solitaire et il est rare que plusieurs individus se rassemblent pour chasser. En revanche, lorsque le sang de la proie se déverse dans la mer, d’autres requins blancs peuvent être attirés par l’odeur et se joindre au repas, surtout lorsque l’on sait que le grand blanc peut sentir une seule goutte de sang au milieu de 4,6 millions litres d’eau. La ration quotidienne de nourriture que le grand requin blanc doit ingurgiter dépend de nombreux facteurs, et notamment de la température de l’eau. En effet, plus la température de l’eau est élevée, plus les besoins alimentaires du grand requin blanc augmentent. Le grand requin blanc se nourrit à la première occasion, bien que ses repas puissent être espacés d’un mois sans que sa santé soit altérée. La détection des proies se fait principalement à l’aide d’un odorat supra-développé. Le nez du grand requin blanc est d’ailleurs son principal centre nerveux ce qui lui permet la détection de sang en plein océan. Certaines proies peuvent éventuellement être repérées grâce à un système d’écholocation lui aussi bien maîtrisé par le grand requin blanc.


REPRODUCTION:
 Nous ne possédons que très peu d’informations sur la reproduction des grands requins blancs. On sait cependant que le mâle atteint sa maturité sexuelle aux alentours de 10 ans. On pense ensuite que les mœurs sexuelles du grand requin blanc sont elles aussi violentes étant donné du grand nombre de cicatrices présentes sur le corps des femelles et que l’on suppose laissées par les prétendants. Les accouplements ont toujours lieu au fond des océans et pour cette raison aucun n’a pu être observé. Juste avant cette période les femelles se nourrissent de deux ou trois grandes proies, afin d’accumuler de la graisse, car elles doivent très certainement rester à jeun dans les profondeurs marines et cela pendant toute la période de reproduction. De plus,  on sait que le grand requin blanc est ovovivipare, et que son taux de reproduction est assez faible avec une seule portée de deux à dix jeunes tous les deux ans seulement.



ours poulaire

L'ours blanc (Ursus maritimus) ou ours polaire est un grand mammifère carnivore originaire des régions arctiques. C'est, avec l'ours kodiak, le plus grand des carnivores terrestres et il figure au sommet de sa pyramide alimentaire.
Parfaitement adapté à son habitat, l'ours blanc possède une épaisse couche de graisse ainsi qu'une fourrure qui l'isolent du froid. La couleur blanche de son pelage lui assure un camouflage idéal sur la banquise et sa peau noire lui permet de mieux conserver sa chaleur corporelle. Pourvu d'une courte queue et de petites oreilles1, il possède une tête relativement petite et fuselée ainsi qu'un corps allongé, caractéristiques de son adaptation à la natation. L'ours blanc est un mammifère marin semi-aquatique2, dont la survie dépend essentiellement de la banquise et de la productivité marine. Il chasse aussi bien sur terre que dans l'eau. Son espérance de vie est de 20-25 ans3.
Cette espèce vit uniquement sur la banquise autour du pôle Nord, au bord de l'océan Arctique. En raison du réchauffement climatique et du bouleversement de cet habitat, les populations d'ours blanc sont globalement en déclin et l'espèce est considérée comme en danger. On estime que la population d'ours blancs serait comprise entre 20 000 et 25 000 individus.
Animal charismatique, l'ours blanc a un fort impact culturel sur les peuples inuit, qui dépendent toujours de sa chasse pour survivre. Il a également marqué la culture populaire via certains de ses représentants comme Knut, ou encore l'art avec la sculpture d'ours blanc réalisée par François Pompon.







jeudi 4 juillet 2013

Le Grand Dauphin

Le Grand Dauphin

Bien que commun au début du siècle dernier, le grand dauphin n'est plus représenté que par 400 à 500 individus en Méditerranée. Acrobate social, intelligent ... le grand dauphin à l'état naturel vit plutôt près des côtes où se trouvent les poissons qu'il préfère. Il est donc particulièrement exposé aux activités humaines.
La pollution

75% de la pollution des mers provient des rivières : chez vous comme sur un bateau, utilisez les produits d'entretien et d'hygiène avec parcimonie et préférez les plus écologiques. Le grand dauphin, qui vit près des côtes, ou la pollution est forte, est d'autant plus touché qu'il se trouve en fin de chaîne alimentaire et cumule ainsi les toxiques. Les déchets et les rejets de toutes sortes finissent par intoxiquer le milieu marin. Emportez le moins d'emballages possible et attendez de trouver une poubelle pour jeter vos déchets. Les détritus se dégradent lentement et représentent un danger pour de nombreux habitants des océans.
La pêche

Les grands dauphins de Méditerranée se font rarement prendre dans les filets, mais ils y avalent les poissons. Les stocks de poissons, la principale nourriture du dauphin, ont subi une baisse dramatique, évitez de tuer les animaux inutilement , et ne pêchez que pour manger. Laissez aux poissons, crustacés et coquillages une chance de se reproduire et renseignez-vous auprès de l'office du tourisme, de la capitainerie ou des affaires maritimes pour connaître les tailles minimales de capture. Et replacez les pierres et le sable retournés. Si vous pêchez à la ligne, attention à vos fils en nylon: ils mettent 600ans à se dégrader! Et si un animal en avalait, cela pourrait le tuer. Le dauphin du baiji est le dauphin le plus menacé et en voie de disparition . Ils ont été victimes de la pollution et des filets des pêcheurs .la construction d'un barrage sur le fleuve a aussi pertubé leur mode de vie .
Les bateaux
La pollution, le bruit et l'agitation générés par les bateaux à moteur perturbent le milieu et la vie scociale des dauphins. Si vous avez la chance d'en voir, restez en retrait et laissez -les venir à vous. Le monde marin est fragile : en bateaux, préférez un mouillage fixe et jetez l'ancre le moins souvent possible . Evitez surtout les herbiers de possidonie,où crustacés et poissons trouvent refuge. Sur ou sous l'eau, avancez doucement pour ne pas blesser ou effrayer les habitants de mers. Regardez sans toucher : utilisez un appareil photo mais ne les poursuivez pas, et évitez de les nourrir car cela peut perturber leur comportement et leur écosystéme.
Le dauphin du Baiji
Le dauphin du Baiji est le dauphin le plus menacé et en voie de disparition . Il a été victime de la pollution et des filets des pêcheurs. La construction d'un barrage sur le fleuve a aussi pertubé son mode de vie.